Les candidats du Front de Gauche des quartiers Sud de Marseille, Marie-Claude RUMEAU, Guillaume ALGRIN et Corinne GUIGUE, accompagnés par les militants de ce canton, étaient à la rencontre des habitants de deux quartiers, Valmante et Bonneveine. Elles et ils ont bien compris que dans ce canton elles et ils sont la Gauche contre la droite et le Front national. Elles et ils vont tout faire pour que la gauche soit rassemblée et mobilisée pour aller voter Front de Gauche le 22 mars.
Au moment où le gouvernement a tourné le dos à ses engagements, il est important de montrer qu’il existe une Gauche dans les quartiers Sud de Marseille, qui n’abandonne pas les électeurs de gauche de ces quartiers et qui ne se résigne pas. Une gauche qui tient ses promesses. N’est-ce pas d’ailleurs le meilleur rempart contre le Front national ?
Face à une droite qui joue les bulldozers dans ces quartiers depuis des décennies et un FN en embuscade, les organisations du Front de Gauche ont décidé de travailler sans relâche pour rassembler le plus large possible pour repousser la droite et son extrême. L’objectif est que dans ce canton, elles et ils sont les seuls à faire barrage à la droite et à l’extrême droite.
Dans cette bataille, les candidats, Marie-Claude RUMEAU, Guillaume ALGRIN, Corinne GUIGUE et Mikaël BALMONT, portent le refus des politiques d’austérité qui plombent les ménages et les collectivités territoriales. Elles et ils avancent des propositions alternatives tant en matière de transport que d’environnement, d’écologie. Elles et ils avancent aussi une exigence démocratique pour, en toutes circonstances, construire avec les citoyens les réponses aux problèmes posés ou encore la nécessaire solidarité entre les territoires avec ce que cela suppose de lutte pour la défense et le développement des services publics.
A trente jours du scrutin, la campagne est bien engagée, les rencontres d’aujourd’hui ont bien montré qu’il fallait labourer en profondeur le terrain. L’heure est maintenant au travail de proximité. C’est une à une que les candidats et les militants vont chercher les voix. Rien n’est jamais joué, pas plus là qu’ailleurs.
Tout dépendra de la capacité des uns et des autres à mobiliser et à tirer les électeurs de l’abstention dans laquelle beaucoup se sont réfugiés ces dernières années.
