« Madame, je signe cette pétition, parce que je suis complètement d’accord, mais il faut que vous sachiez que c’est la première fois de ma vie que je signe une pétition. », ce cadre supérieur a été sans ambigüité sur son engagement, ce qui a eu pour effet de déstabiliser les militantEs communistes du PCF 9ème arrondissement de Marseille, tout en leur donnant un coup de fouet pour continuer leur action. Elles et ils n’en reviennent toujours pas !
Combien, elles et ils en auront entendus des propos comme cela ce matin à La Rouvière, la résidence privée de 8000 habitantEs, à tel point que l’ancien, Claude, éclate en leur disant qu’il faut le faire savoir. Depuis des semaines, elles et ils font signer la pétition de la plate-forme unitaire des quartiers Sud de Marseille pour le développement du service de santé, contre la fermeture de l’hôpital Sainte-Marguerite.
Mais là, une étape vient d’être franchie au niveau de l’accueil de la population. En clair, les communistes de Marseille 9ème vérifient la réalité du rapport de force, en mettant en pratique l’action sur le terrain pour la lutte contre toutes les austérités, contre la financiarisation de la santé, contre la loi MACRON. Et les retours de la population n’ont rien à voir avec la communication de BFMTV ou consorts. Comme si Pierre LAURENT, le secrétaire national, avait complètement raison dans ce qu'il dit des bougées de la société française.
Elles ou ils ont des âges différents, ce sont des trentenaires, des quarantenaires ou alors beaucoup plus âgées, mais elles et ils signent des deux mains, et en plus elles et ils discutent, expliquent qu’elles et qu’ils aspirent à une autre politique… Les militantEs communistes du PCF 9ème arrondissement de Marseille ne sont pas assez nombreux pour faire face… Comme quoi, il ne faut vraiment pas se fier à TF1, aux sondages, aux oiseaux de mauvais augures, qui roulent pour la finance. Comme quoi aussi, le rassemblement du peuple de France ne se construit pas à coup de bluff médiatique, mais qu’il se bâtiit à tous lés étages de la maison France à partir d’une alternative politique, d’un projet politique.
Les « Chantiers d’Espoirs » se construisent comme cela aussi !
Alors, le propos est toujours inquiet sur le possible du changement politique, mais c’est une aspiration à ce changement politique qui est posée par toutes et tous ces pétitionnaires. En conclusion, les militantEs communistes du PCF 9ème arrondissement de Marseille sont sortiEs convaicuEs de ces rencontres qu’il y a vraiment quelque chose qui bouge dans le bon sens dans notre pays et que le PCF peut jouer, dans les semaines et mois à venir, un grand rôle pour un rassemblement majoritaire dans notre pays.
